Gérard de Nerval was right; some girls live, dance and make love in the heart of fire.
Olga catches them after a long long while… Je travaille par le feu le corps résiduel, fantasmé, inspirée par la littérature et par une vie de regard désirant. Au bout d'un long affût, j'attrape Les Filles du Feu et les fais jaillir à ma façon. Il faut du temps, les joues rougies. Mes images ne sont pas celles d'une photographe, je ne leur donne pas d'existence matérielle; à l'exemple du feu, elles se dérobent. Je laisse à une rencontre la liberté mutuelle de leur donner un corps, un format, à accrocher au mur de la chambre obscure de nos désirs…
Gilrs of fire / Les Filles du Feu, we were in love…
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