Albert (Jules Alexis). Robida (1848 - 1926) : La Cathédrale de Mayence. Avec une «remarque» (terme bien mal trouvé) en bas, comme d'habitude, ici sur le thème fort controversé et «controversable» : «Les Mayençais, 1793» !
Albert Robida -- pur produit des endoctrinements pseudo-historiques du XIXème s aura dû -- bien sûr, & sous peine de «non-carrière» [comme tant d'autres], inféoder son grand talent à la mystification (prétendument) «révolutionnaire» ! Et, une fois encore dans le Palatinat, les hordes barbares françaises, s'en donnèrent à cœur-joie ! Comme en Haute-Bretagne & en Vendée. Ha ! Les Salauds ! . Notons que dans cette «remarque», il n'a pas donné aux salopards des profils d'Anges, éclairés par les éclats des «Lumières» encyclopédiques. ! Bien au-delà des destructions de la dernière guerre, dans une certaine mesure, cette pièce est intéressante, sinon plus, en tant que témoignage de l'idéologie «catastrophique», totalitaire et jacobino-fasciste du temps de Robida. Idéologie qui, malheureusement, perdure encore et perdura pour longtemps. Bien à vous & bon courage à tous ! N. B. : Sur papier rigide ancien (sorte de vieux Bristo épais), de 50 cm X 32.5.
Albert (Jules Alexis). Robida (1848 - 1926) : La Cathédrale de Mayence.
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