Les feuilles mortes que nous offre l’automne, Sont si légères qu’elles s’abandonnent, Elles emportent dans leurs sillages, Toutes nos peines vers les nuages.
Regardez-les s’envoler, mais sans penser, Pouvoir un jour espérer les imiter, De vos espoirs, elles ne font fi, Elles n’ont qu’un but : atteindre l’infini.
Posez-vous, prenez le temps, observez-les, Asseyez-vous tranquillement, sur un banc esseulé, Fermez les yeux, faites le vide, évadez-vous, Et volant à leur côté, imaginez-vous.
Petite parenthèse, je me suis permis d'aller sur votre facebook et j'ai lu «L'aurore d'une histoire… » Que j'ai beaucoup aimé aussi.
Votre texte m'a fait pensé à un des miens.